Sonntag, 10. Juni 2012

L´être humain confronté à ses préférences au détriment d´autrui

L´être humain serait-il victime de sa propre nature?

Préférant suivre ses préférences, afin de réaliser ses rêves, même en vendant du rêve aux autres se fondant sur le néant d´un point de vue matérialiste, il complexifie ses actions. Parce qu´il préfère se sauver lui-même que sauver tout le monde. Parce qu´il cherche à être supérieur aux autres. Dans la nature de l´espèce humaine, l´homme veut s´imposer à son environnement. Alternant entre différentes stratégies, il s´y adapte ou tente de le dompter. Parfois, il échoue. Mais il continue dans cette lignée. Parfois, il y arrive et continue sans pourtant jamais arriver à son but. Si l´intelligence lui permet de faire croire aux autres que les rêves qu´il propose ont une valeur supérieure à le leur, alors il arrive a les devancer. Le monde, dans lequel nous vivons est le fruit des rêves de certains qui réussissent à s´imposer à la majorité. Nous vivons et perdons grâce à ses rêves. Peu importe qu´ils soient réels ou immatériels.

Pourquoi un ingénieur financier devrait être payé 100 à 200 fois plus qu´un ingénieur des ponts?
Le premier construit du rêve alors que le second construit du concret, utilisable par tous.

Tout observer d´un oeil curieux et établir des rêves intelligibles profitant à tous - même si étant profitable à soi-même dans un premier temps, mais s´étendant aux autres dans un second temps.


Frédéric de Voltaire

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